et la tradition du gâteau d'anniversaire...

Comment ais-je pu oublier cette partie???

Il y a cette tradition à son anniversaire lorsqu’on reçoit un gâteau, il faut se le faire « smasher » en pleine face. Pour la forme, j’ai expérimenté deux variantes : au bureau avec les collègues (traditionnelle) et au resto avec les amis (crémeuse). Dans les deux cas tu te retrouve avec un facial sucré et difficile à nettoyer et surtout, une croute succulente dans les cheveux… lol

La traditionnelle : J’y étais préparé, il y a eu quelques anniversaires depuis mon arrivée dans l’entreprise. Après avoir chanté et coupé le gâteau, un collègue prend un morceau chocolaté et crémeux et te l’apporte près de la bouche pour la première bouchée, la seconde; c’est le restant du moceau qu’il m’a étampé en pleine face! Peut être parce que je suis le seul étranger de l’équipe, mais je crois y avoir gouté plus que les autres… lol Étant donné que c’est au boulot et que tu portes une chemise, généralement on te beurre un peu moins la face. Mais ce qui m’a surpris c’est que sitôt le morceau entre leurs mains, ils sont tous retournés à leur bureau pour continuer à travailler… Aux Pays-Bas, là où l’on doit apporter son propre gâteau, au moins les collègues consomment le gâteau avec toi et profite de quelques minutes de pause. Différente culture ou différente entreprise ou un mix des deux…. Enfin, cela m’a fait plaisir que le bureau souligne mon anniv’.

La crémeuse : Alors là c’était relativement semblable, mais le fêté doit offrir une première bouchée à chacun des invités et ensuite l’un de ses invités retourne le tout à la traditionnelle. La différence, ici, c’est que tous ont voulu participer, alors plusieurs mains m’ont étamper du gâteau au chocolat partout dans le visage et aussi dans les cheveux; disons que je me sentais un peu twit en allant à la salle de bain pour me nettoyer… lol et tout le reste de la soirée, je sentais cette croûte durcie dans mes cheveux qui goûtait et sentait bon! Lol Heureusement que mes convives voulaient goûter un peu autrement certains avaient pour idée de m’étamper le gâteau au complet dans la « face ».